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 / Espace public

D’usage assez récent en urbanisme, a notion d’espace public ni c’est cependantpas toujours l’objet d’une définition rigoureuse. On peut considérer l’espace public comme la partie du domaine public non, affectée à des usages publics. L’espace public est donc formé par une propriété et par une affectation d’usage.
La notion d’espace public en urbanisme ne relève pas seulement basque est juridique. Il faut aussi la mettre en relation avec l’émergence, à partir du XVIIIe siècle dans la société européenne, de la nation d’espaces privés, organisé autour du modèle institutionnel de la famille restreint. À la clôture de logements sur l’intimité familiale et à l’organisation interne spécialisée de cet espace domestique, répond en effet une initialisation des espaces et des rieurs comme espacent publics, le lieu de l’anonymat ou des rencontres informelles. Le travail est une large part de la vie quotidienne comme la vie civique se retirent de la rue.
Mais processus de spécialisation fonctionnelle et formelle des espaces extérieurs, engagé à la renaissance, se renforcent.au XIXe siècle cet espace public devient un espace de la circulation et des promenades marchandes ou hygiéniques que nous connaissons encore aujourd’hui.
Ainsi la constitution d’un espace public au accompagnant paradoxalement la régression d’une partie nation directe quotidienne à la vie civique urbaine. L’habitat et les lieux de travails – étrangers l’un à l’autre dessine d’encre le nez et le lieu d’activité banalisée le domaine de l’ « homme de la rue » de l’ « usage ».

 

Il faut encore rapprocher la spécificité des de l’espace public de la laïcisation de la société et donc de la quasi disparition d’un domaine concret et symbolique du sacré, l’espace public (Cf. J. Habermas, L’espace public, 1982).
En tant que composée d’espaces verts ou extérieurs, l’espace public s’oppose, au sein du domaine public, aux édifices publics en mais il comporte aussi bien des espaces minéraux (grue, place, boulevard, passages couverts) que des espaces verts (jardins, parc public, square, cimetièr…) Ou des espaces plantés (mails, cours…). Par extension des, de nombreux urbanistes se considèrent également au titre de l’espace public lui le bâti de droit privé : Gard, centres commerciaux…, Voire les moyens de transport en commun ou des équipements collectifs. Entre l’espace public et l’espace privé proprement dit, l’architecture et l’urbaniste distingue en outre, souvent des espaces intermédiaires, surtout en matière d’habitat. Ainsi on qualifie par exemple d’espaces  « privatif » un espace réservé un usage particulier et, sans lui appartenir ; d’espaces « collectifs » ou d’espaces « semi public un espace réservé à un usage de voisinage.
Les analyses morphologiques de Camillo Sitte mais surtout les théories anglo-saxonnes de la « cité-jardin » palace les espaces communs au centre de leur problématique, sous les deux formes du par cet de la place.

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